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Code = NESTOR

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Code = NESTOR
En deux mots, c'est quoi ?
C'est un mec... Qui a peut-être pas trop bien compris comment il s'est retrouvé avec ce nom de code, d'ailleurs. Il le doit à sa mémoire et au héros grec du même nom, mais ça on s'en fiche. Ce qui compte c'est qu'il a une mémoire d'éléphant et qu'on lui demande de s'en servir. L'ennui, c'est que le job est éprouvant pour les nerfs et que notre homme a parfois des envies de se la jouer pantoufle.
14 novembre 2015

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3 mai 2017

Adresse de mon blog-textes

 

les "textes sélénites" sont à cette adresse

http://scriptorium2.canalblog.com

 

Mouette--L500

Plus d'un an après désindexation, j'ai toujours des visites ici,
y compris de Google...
alors un petit lien ne fera pas de mal !

 

Le "scriptorium" est consacré à tous mes textes,
quel que soit leur type ou genre.

Historique, Science-Fiction, Fantasy, Fantastique...
Roman, nouvelle, conte...
Articles sur lecture ou ciné...

 

Inversement à celui-ci, cet autre blog a besoin d'améliorer sa position sur Google.
N'hésitez donc pas à le visiter, commenter, lier...
A bientôt !

11 décembre 2015

Mise en sommeil...

Hier, j'ai indexé le blog qui servira à mon nom d'auteur-texte, si j'arrive à publier un roman...

Aujourd'hui, je dé-indexe celui-ci.

J'ignore si c'est définitif.

Peut-être bien.

Pourtant, j'y étais attachée, autrefois, à ce blog... et je crois que je le suis encore. J'y ai mis beaucoup de moi. Il faut seulement savoir faire la part des choses. Ce blog a une URL définie sur un projet précis. Il serait absurde de le faire vivre indépendamment de ce projet et de plus je n'en ai pas le temps.

Je pourrais me contenter de l'abandonner, mais certains articles serons peut-être repris ailleurs, entièrement ou partiellement. On verra bien.

 

1 décembre 2015

Ce blog a perdu son âme...

Suite à un gros coup de blues, causé par un méga coup de stress, consécutif à mon implication dans un blog collectif...

Je reviens traîner les pattes ici.

Il n'était pas mal, ce blog... Au temps où je prenais la peine d'alterner les articles documentaires et les articles sur mon travail.

Pourquoi est-ce que j'ai arrêté? Le manque de temps? Sûrement un peu.

Ou bien les doutes récurrents sur ce projet rétro... A quoi bon continuer les articles rétro si je porte mon intérêt sur d'autres types de sujets ? Un temps, je me suis concentrée sur mon "blog-légendes", puis j'ai lancé le projet "fanzine mythologie", qui m'a pris énormément de temps.

Ensuite, ma santé m'a joué des tours et au lieu de dessiner je me suis mise à écrire. Idée à la con qui m'a indirectement conduite à ce blog collectif dont je me sens maintenant prisonnière.

En regardant ce blog, j'ai envie de le reprendre. Après tout, j'ai un roman en cours qui entre dans ce cadre...

Je m'apprête à créer un blog pour mon nom d'éccriture. Inutile de multiplier.

N'empêche... Il était bien ce blog.

31 mai 2015

Nestor... Où il est passé? Que devient-il ?

Depuis quand n'ai-je plus touché à NESTOR ?

Je n'en sais plus trop rien.

Une évidence s'est imposée à moi, en relisant le 2° dossier.

Et du coup, je n'y ai même pas effectué les micro-retouches que j'avais repéré sur cette page ou telle autre.

Entre le dossier 1 et le dossier 2, il y a un univers.

Les deux ne se ressemblent pas.

On a l'impression de deux trucs différents.

Le 2° est très ancré dans la réalité historique. Le 1° la regarde de très loin.

Le 2° juxtapose la psychologie du personnage à des faits précis. Le 1° à une ambiance.

ceci venant s'ajouter à l'impression que ce truc a peu de chances de trouver éditeur...

Et à des problèmes de santé sévères l'an dernier...

J'ai laissé NESTOR s'endormir dans mon disque dur (version scannée) et dans son classeur.

J'ai repensé souvent à lui, ces derniers temps.

A cause de ce blog, dont la seule rubrique encore anctive est celle de "univers moderne". Une rubrique qui n'aurait peut-être pas dû exister. Qui est peut-être hors-sujet.

*

Peut-être que je devrais transformer ce blog de fond en comble pour y parler de mes univers réalistes, et pas que de NESTOR. Autrefois, je n'en avais pas 36, des "univers réalistes", mais je travaille à deux romans qui rentrent dans ce cadre.

Quand à NESTOR... Ben... Je ne sais pas.

Bref... Le blog va continuer à dormir, selon toute probabilité.

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14 avril 2015

Hep !

Voilà une dizaine de jours que je me demande ce qu'on peut dire là-dessus.

Et la réponse est = rien.

C'est consternant. Point barre.

Alors, puisque je ne peux rien dire d'utile...

Je vais juste lier un article, sur un blog sur site RFI

http://chine.blogs.rfi.fr/article/2015/04/04/chine-suicide-aux-pesticides

 

Source: Externe

 

*

 

15 janvier 2015

Historik !!!!!!

Dimanche, pendant la retransmission de la marche à Paris, il y a eu un jeune couple qui expliquait avoir amené son bébé d'un mois, avec "je suis Charlie" sur son landau, pour qu'il puisse dire plus tard qu'il y était.

Beurk...

S'ils avaient dit qu'ils faisaient ça pour son avenir, j'aurais compris, mais là... Passez-moi l'expression : j'ai eu envie de me voiler la face.

Hier... Les marchands de journaux dévalisés dès l'ouverture par les acheteurs de "Charlie".

Là aussi, je me voile la face.

Faut-y que ça soit historiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiique pour que les gens deviennent pareillement fous ? Mais derrière cette folie collective, combien y en a-t-il qui vont tirer des leçons ? Réfléchir ?

OK, OK, j'suis une grosse casse-pied déprimeuse et déprimante.

Peut-être qu'il y en aura quand même...

Après tout, en 2002, j'avais acheté... Une revue de presse assez vaste, je l'avoue. Je dois même l'avoir encore quelque part. Je l'avais lue, aussi. Bon sang... La tronche du marchand, ce jour-là ! J'en rigole encore rien que d'y penser. Il ne devait pas souvent voir quelqu'un acheter autant de journaux à la fois. Surtout que c'est une petite officine qui, à en juger par l'organisation de ses rayonnages, vit surtout sur les programmes TV, magazines dits "peoples", et canettes de sodas.

Ca sera historique, si on fait en sorte que ça le soit.

 

13 janvier 2015

Que signifie "être Charlie" ?

 En réponse à mon dessin, j'ai reçu de la librairie Arthaud un "mail collectif" intitulé

Vous etes Charlie

Ce pluriel m'a paru avoir plus de sens que le singulier "je suis Charlie", qui, c'est le moins qu'on puisse dire, me pose des questionnements et pas qu'un peu.

Que signifie "être Charlie" ?

A force de me poser la question... J'ai fini par la taper sur Google.

Tout simplement.

Et cela m'a conduit à cet article (cliquez ICI) qui, pour exposer clairement des idées que je sentais un peu s'ancrer en moi... Ne m'en laisse pas moins un goût amer.

"Alors, je l’affirme, je suis Charlie. Vous êtes probablement Charlie. Nous sommes tous Charlie. Enfin, presque tous.

Mais que signifie vraiment « être Charlie », à propos ? On associera au slogan un message de solidarité, la défense de la liberté d’expression, le rejet du terrorisme… Mais quoi d’autre encore ? Et est-on seulement d’accord sur cette définition sommaire ?"

 

 

"Il est compréhensible d’éprouver un sentiment de solidarité envers des gens avec qui on est d’accord, mais de grâce, n’appelons pas cela « défendre la liberté d’expression ». N’appelons pas cela « être Charlie », à moins de vouloir ôter toute forme de noblesse à ce qualificatif.

 

Parmi la foule anonyme qui célèbre l’esprit passé de Charlie Hebdo, beaucoup pensent qu’il faut être Charlie aujourd’hui parce que la liberté d’expression est menacée par le terrorisme islamique. Mais est-il ok, alors, de menacer la liberté d’expression par d’autres moyens ? Que dire d’un gouvernement en butte à la liberté d’expression à travers ses lois, par exemple ? Que penser d’une chasse aux sorcières politico-médiatique orchestrée contre les trublions du régime ?"

 

 

"Être Charlie, c’est avoir compris l’enjeu : rejeter la violence ou la menace de la violence contre la précieuse liberté d’expression, que le carcan vienne du gouvernement, d’un autre pays, des médias établis, d’autorités religieuses ou de terroristes.

Voilà, à mon avis, ce que signifie être Charlie. Comprenez-le, n’hésitez pas à en discuter, et posez-vous ensuite la question: avez-vous, alors, le courage de l’être ?"

Je suis OK à 100% avec ces considérations sur la liberté d'expression...

Mais la nommer "Charlie" me fait tout de même bizarre.

Même si Charlie Hebdo a toujours eu un esprit de grande liberté d'expression.

Pourquoi ça ?

Parce que à l'origine de tout ça... Charlie c'était quand même ces gens qui, ainsi que le disait Luz dans l'article que je citais l’autre jour, faisaient leurs petits dessins dans leur coin.

Alors évidemment, c'est très beau, un mariage.

Le mariage de Marianne (pas le journal, l'autre Marianne, celle qui chantait "ça ira" etc. celle qui a paraît-il, vieillit et pris des rides...) et de Charlie, mais il y a quand même quelque chose d'un peu triste à cette histoire.

Quelque part.

J'ai beau êre passionnée de mythologie et savoir que c'est sur la mort et le pourrissement que se fondent la fertilisation et le renouveau... Ben ça fait mal quand même, de penser que les survivants de Charlie se voient dépossédés de Charlie pour que vive Charlie.

Vous avez du mal à suivre ce que je raconte ?

C'est pas grave. Moi aussi.

Peut-être que c'est comme quand un enfant quitte le nid. Charlie n'a plus besoin de ses pères. Il vole tout seul.

Est-ce que c'est ça, un mythe qui naît ?

 

1830-Delacroix-Liberte

 

Il y a autre chose, de gênant...

Parmi les victimes de ces derniers jours, il y en a plusieurs dont on ne peut pas dire qu'ils représentaient la liberté d'expression et sont morts pour ça. Certains étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment. D'autres ont juste essayé de défendre ceux qui se trouvaient là. Bon, bref... On en revient à l'absurderie du droit d'exister en paix quand les armes se baladent dans la rue même pas tenues en laisse.

Je perds mon temps.

Je ferais mieux de rédiger une connerie de texte avec des des ogres voraces qui font la moue parce que les gamins ont mangé trop de MacDo et que ça fait pas de la bonne viande pour le repas familial.

*

*

*

Edit tardif...

"Etre Charlie" est de bon ton. Si on est pas Charlie, on est moche dedans.

Pourtant, j'ai toujours la même impression.

N'est pas Charlie qui veut.

Moi qui ai peur d'aborder trop violemment des questions sensibles, peur de blesser les gens, peur de me planter et de regretter après, moi qui louvoie tant dans mes textes que dans mes dessins... Je ne peux pas employer le verbe être. Peut-être le verbe suivre... Et encore. Avec prudence.

Je suis une timorée.

Et je le sais.

12 janvier 2015

La guerre des fantômes

J'ai en cours deux romans.

Les deux ont été entamé à peu près en même temps. J'ai le méga défaut d'entamer des tas de texte... Et comme c'est pour me défouler, je me suis longtemps peu souciée de les finir ou pas. L'an dernier, j'ai décidé que je devais arrêter de tout laisser en plan et que ces textes méritaient que je les achève, au lieu de m'en désintéresser. Je me suis concentrée  sur un de mes deux romans (pas celui qui était le plus avancé, mais celui qui me tenait le plus à coeur), à un moment où ma santé (elle est fragile) ne m'autorisait plus à faire autre chose que taper au clavier. Il a été quasiment bouclé en un temps record. Actuellement, il est en phase de correction.

Ce roman est un western.

Je me suis recollée, ensuite, à vitesse réduite (ma santé allant mieux) au deuxième. C'est un "space opera".

Il avançait plutôt bien, mais depuis mercredi, je n'ai plus très envie de ce texte... Il me parait stupide, futile, con comme la lune.

Je vais peut-être le laisser reposer quelques temps... Histoire de me reposer un peu la tête.

Pourtant, quand je le regarde bien, ce roman n'est pas si futile que ça.

Dictature, guerre civile, torture, extrémistes de tous bord, génocide... Et j'en passe.

Les ingrédients que j'ai mis dans ce roman n'ont rien de futile.

Pour moi qui aime regarder les choses d'un peu loin, qui aime les contes et les fables, s'exprimer par parabole et une option assez logique, finalement.

Je me rends compte que si je n'aimais pas beaucoup bosser ce texte, l'an passé, c'est pour la même raison qui maintenant devrait me donner envie de m'y jeter à corps perdu. 

Ca ne colle pas. Je n'ai pas envie de ça.

En ce debut d'année, ce roman de SF ne me donne pas envie de démolir mon clavier pour le finir plus vite. C'est bête, mais c'est comme ça. Depuis mercredi, je le trouve stupidement futile et rien de plus. Plus vide de sens que les immensités cosmiques où se déroule ce qui est nommé dans mon prologue "la guerre des fantômes".

Quels fantômes ?

Dans mon roman, encore... On sait à quoi ils ressemblent, on sait les repérer.

Nous aussi, nous vivons une guerre des fantômes.

Le terrorisme a ceci de terrible que l'ennemi n'a pas de visage mais mille corps.

De nos jours, il a des bras gigantesques, que lui construisent les moyens de communications modernes.

Et puis, il a des yeux qui ne voient pas la même chose que ce que nous voyons nous.

Il se nourrit de certitudes et de rage

 

11 janvier 2015

Merci pour ces mots

Depuis mercredi, les petits papillon noirs portant "je suis Charlie" écrit dessus en blanc fleurissent partout.

A aucun moment je n'ai eu envie de dire "je suis Charlie", et petit à petit, je m'en suis sentie de plus en plus coupable. Etait-ce de la lâcheté, de ma part ? De l'orgueil ? Je n'arrivais pas à me sentir "être Charlie", et guère plus à être sûre de vouloir "suivre Charlie".

Surtout si c'est dans la tombe, mon bon monsieur.

Rigolez pas avec ça, ma bonne dame.

Suivre de quelle façon, d'abord ? Suivre dans la façon de d'exprimer? Dans le fond exprimé? Dans la liberté de parole ?

Ca fait bien des questions à la fois, mon bon monsieur...

J'aime bien Cabu, j'aime bien Wolinski... Pourtant, il m'est souvent arrivé de détester Charlie Hebdo. Pas tout le temps. Il m'est aussi arrivé, soyons juste, d'aimer son contenu. Un peu comme on peu discuter avec un pote sans être forcément d'accord avec lui, ni pour autant être lui.

Cabu, Wolinski et les autres appartenaient à la grande famille des auteurs.

Comme moi, sauf qu'eux, ils étaient connus, alors que moi je rampe dans mon coin.

Ils étaient quand même un peu des "grands frères", et puis surtout, ils étaient, tout court. Et ils ne sont plus.

On est bien peu d'choses, ma bonne dame...

Les lignes qui suivent sont extraites de cette page. Elles sont du dessinateur Luz, de Charlie-Hebdo.

"Charlie est la somme de personnes très différentes les unes des autres qui font des petits dessins. La nature du dessin changeait en fonction de la patte de son dessinateur, de son style, de son passé politique pour les uns, ou artistique pour les autres".

"Mais cette humilité et cette diversité de regards n'existent plus. Chaque dessin est vu comme s'il était fait par chacun d'entre nous. Au final, la charge symbolique actuelle est tout ce contre quoi Charlie a toujours travaillé: détruire les symboles, faire tomber les tabous, mettre à plat les fantasmes"

Vous allez trouver ça con, peut-être, mais je me sens mieux.

Je décomplexe de ne pas oser "être Charlie"

La provoc façon Charlie, c'est une méthode, une façon de faire, un style. Ca a du chien. Ca peut réveiller les gens. Mais ce n'est pas ce que je sais faire... Ni surtout ce que j'aime faire. J'ai trop tendance à ménager les gens. Je ne sais pas cogner. J'ai peur de faire mal. Je suis un bisounours.

La caricature est un art compliqué. C'est une cuisine où il faut doser les épices au millimètre près... Et dont on a pas pour autant la certitude qu'elle sera perçue par tout le monde de la même façon. Il y a même pas mal de chances qu'elle ne le soit pas. Faut du cran pour s'y livrer. Beaucoup de cran. Et de la spontanéité.

La provoc', c'est du grand art. Un art que je ne maîtrise pas.

On est pas tous Charlie.

Et, en un sens, ça vaut mieux... Parce que si on était tous Charlie, si on était tous des as de la provoc, ça serait un beau bordel.

Si je puis me permettre, mon bon monsieur.

Notez bien, que ça pourrait être amusant, ma bonne dame.

 

 

http://www.francetvinfo.fr/economie/medias/charlie-hebdo/des-dessinateurs-de-charlie-hebdo-denoncent-les-recuperations_793555.html#xtor=AL-79-[article]

 

http://www.lepoint.fr/culture/luz-le-soutien-a-charlie-hebdo-est-a-contre-sens-de-ses-dessins-10-01-2015-1895437_3.php

 

Reste quand même une question.... Quand on écrit pour soi, ou à tirage réduit, on peut prétendre ne faire que des petits dessins, des petits articles...

"On est un journal, on l'achète, on l'ouvre et on le referme. Si des gens postent nos dessins sur Internet, si des médias mettent en avant certains dessins, c'est leur responsabilité. Pas la nôtre" (même article que la citation précédente)

Mais quand on sait, avec certitude (le journal étant lu à grande échelle) que cela aura un impact, et que les images seront peut-être reprises soit à l'identique, soit  sous forme d'autres images qui en seront inspirées... Est-ce qu'on fait un petit truc dans son coin ? Est-ce que, comme le dit Luz, la responsabilité de reprendre les images est seulement celle du lecteur ? Est-ce qu'elle n'est pas un peu celle de l'auteur ?

 Ceci étant, bien entendu, une question visant la responsabilité morale et non le droit d'auteur.

Même si c'est une des raisons pour lesquelles il existe, le droit d'auteur.

 

 

 

"Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissez le dire"

disait Voltaire...

 

 

 

J'ai le coeur qui saigne pour Charlie

Je ne suis pas lui.

C'est pas pareil.

J'ai une tempête dans la tête pour les gens morts à Vincennes.

Et j'espère bien ne pas être eux demain

ni après-demain, d'ailleurs.

Ni toi, ni le voisin de palier, ni personne d'autre.

 

"Mourrons pour des idées, mais de mort lente" dit une jolie chanson de Brassens

 

Est-ce que les mains se disputent entre elles ? Et les pieds avec la tête?

Et pourtant, les pieds et la tête, c'est pas la même chose.

Jusqu'à preuve du contraire.

 

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J'veux bien, moi... Mais faudrait déjà savoir qui c'est...
Pas forcément facile d'avoir la carrure de son blouson.
Mais comme on dit "l'union fait la force"...
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